vendredi 14 septembre 2007

More parrots…


Eh oui, c'est comme ça, en ce moment on traverse, Flaubert oblige, un petit épisode psittophile, pourquoi le nier, pourquoi s'en priver? Aujourd'hui: Courbet. Souffle cou coupé, non?

1 commentaire:

  1. Je ramène ma fraise de professionnel juste pour préciser que dans un petit mois s'ouvre la rétrospective Courbet au Grand Palais, et que normalement ce tableau fabuleux, qui d'habitude fait le régal des new-yorkais, fera le voyage jusqu'à Paris.
    (Soit dit au passage, en 1866, ce qui choqua le public devant ce tableau, ce ne fut pas le nu en lui-même, mais... la pièce de lingerie en bas à droite, qui révélait qu'il s'agissait d'une VRAIE femme, et non d'une confiserie mythologique comme d'habitude. Horreur du bourgeois!)

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